Unis pour les quartiers montréalais!  

 

Entendre les voix du projet 

Le 27 avril 2022, une centaine de personnes étaient réunies au Théâtre Paradoxe pour le lancement de la deuxième phase du Projet impact collectif.  

Cet événement, animé par Sophie Fouron, a été l’occasion de réunir des représentant·e·s des quartiers impliqués dans la première phase du PIC et d’entendre leurs témoignages sur l’approche unique du projet.

De gauche à droite: La PDG de la Fondation McConnell, Lili-Ana Pereša, la directrice du Service de la diversité et de l’inclusion sociale à la Ville de Montréal, Nadia Bastien, le PDG de Centraide du Grand Montréal, la directrice générale de Vivre Saint-Michel en santé, Vanessa Sykes Tremblay, directrice régionale de santé publique de Montréal et du CIUSSS Centre-Sud-de-l'Île-de-Montréal, Mylène Drouin et la directrice adjointe du PIC, Rotem Ayalon. (Crédit : Jean-Marc Abela)

 

Le PIC nous a permis de rêver. On était à une époque d’austérité; les organismes étaient démoralisés et la concertation était plus difficile. On a compris que le PIC n’était pas normé, qu’il nous permettait de partir de nos aspirations. (…) Le PIC nous a permis d’innover et d’expérimenter. On s’est éclaté à essayer des choses qu’on n’aurait jamais eu le loisir d’essayer.
— Denis Leclerc, directeur général à la CDC de Rosemont
Avec le PIC, on peut prendre le temps de s’arrêter, de décider collectivement de travailler sur un enjeu qui est important pour nous. (…) Le PIC, c’est comme un cadeau que le quartier s’offre. L’implication de chacun et l’investissement des partenaires donnent la couleur au projet.
— Brigitte Robert, Chargée de projet Solidarité Ahuntsic
 
  • Présenté lors du lancement, un panel a permis de réfléchir sur les apprentissages tirés depuis la création du PIC en 2015 et d’exprimer des vœux pour les prochaines années.

    Parmi les résultats obtenus, les panélistes ont rapporté que :

    Les collaborations au sein des quartiers ont été renforcées, tant entre les organismes communautaires qu’avec les institutions locales.

    La grande majorité des quartiers ayant participé au PIC ont intégré des démarches d’évaluation qui leur ont permis d’en tirer de nouveaux apprentissages et ainsi de rajuster leurs pratiques.

    L’approche bottom-up selon laquelle les quartiers choisissent sur quoi et de quelle façon travailler en s’inspirant de l’approche de l’impact collectif s’est avérée concluante

  • Pour les prochaines années, plusieurs souhaits ont été exprimés par la communauté du PIC, notamment :

    • Que tous les quartiers de Montréal qui ont une table de quartier et qui désirent travailler en mode impact collectif soient soutenus.

    • Que la collaboration entre les initiatives locales et les acteurs régionaux (dont les fondations et les institutions) soit renforcée pour exploiter tout le potentiel du PIC.

    • Que l’accompagnement du PIC soit offert au-delà de l’évaluation afin que les quartiers puissent accroître leur capacité d’intervenir sur des changements systémiques.

 

Dans les médias!

Cette soirée festive, marquant le début d’une nouvelle phase du PIC, a suscité de belles réactions dans la presse francophone… 

  • « Des fondations s’unissent pour combattre la pauvreté » Le Devoir. 

  • Reportage à l’émission Le 15-18 Radio-Canada (à 1:08).

  • « Centraide met les bouchées doubles pour lutter contre la pauvreté » Journal Métro.

  • « PIC, des millions de dollars pour juguler la pauvreté » Journal des voisins.

… mais aussi anglophone ! 

  • « More than $21 million to be given to Montreal communities to fight poverty, social exclusion » Global.

  • Centraide of Greater Montréal is launching the second phase of their Collective Impact Project sur CBC Daybreak.

Précédent
Précédent

Vivace PIC